Grève à l’aéroport de Genève : une menace sérieuse de perturbations
Une tension palpable plane sur l’aéroport de Genève alors que la possibilité d’une grève sans précédent se profile à l’horizon. En cause, une refonte de la politique salariale par la direction de l’aéroport qui suscite l’inquiétude et l’opposition du Syndicat des services publics (SSP). Selon le SSP, cette nouvelle politique pourrait entraîner la suppression des primes, qui représentent parfois l’équivalent d’un 13e salaire pour certains employés, ainsi que la possibilité de geler des salaires jusqu’à la retraite.
Le 29 juin, jour de la réunion du conseil d’administration de l’aéroport, pourrait être marqué par un mouvement de grève si la nouvelle politique salariale est approuvée. Jusqu’à un millier d’employés pourraient alors cesser le travail, entraînant des perturbations majeures pour l’aéroport. Les conséquences d’une telle action pourraient être considérables, avec une interruption potentielle du trafic aérien pendant une durée indéterminée.
Les syndicats ont prévenu que le risque d’une grève est très élevé dans les prochains jours. Ils ont également contacté les grandes compagnies aériennes pour les inciter à dérouter leurs appareils vers d’autres destinations. Parallèlement, l’aéroport se prépare à la possibilité d’une grève, bien que l’ampleur exacte du mouvement reste incertaine.
L’Aéroport international de Genève se défend de vouloir réduire les salaires de ses employés. Au contraire, il affirme que la nouvelle politique n’entraînera aucune baisse de revenus et que la prime de fidélité acquise sera maintenue. Cependant, l’aéroport reconnaît qu’il ne peut plus maintenir le modèle de rémunération actuel qui prévoit une augmentation automatique linéaire deux fois plus importante que la progression estimée du chiffre d’affaires.
En attendant, les passagers sont invités à arriver à l’aéroport au moins deux heures et demie avant leur vol pour éviter d’éventuelles perturbations. Ils sont également encouragés à suivre l’application mobile GVApp pour rester informés des dernières évolutions. Le climat est donc tendu à l’aéroport de Genève, où les regards sont tournés vers la réunion du conseil d’administration du 29 juin qui pourrait déclencher la première grève de l’histoire de l’aéroport.
Une tension palpable plane sur l’aéroport de Genève alors que la possibilité d’une grève sans précédent se profile à l’horizon. En cause, une refonte de la politique salariale par la direction de l’aéroport qui suscite l’inquiétude et l’opposition du Syndicat des services publics (SSP). Selon le SSP, cette nouvelle politique pourrait entraîner la suppression des primes, qui représentent parfois l’équivalent d’un 13e salaire pour certains employés, ainsi que la possibilité de geler des salaires jusqu’à la retraite.
Le 29 juin, jour de la réunion du conseil d’administration de l’aéroport, pourrait être marqué par un mouvement de grève si la nouvelle politique salariale est approuvée. Jusqu’à un millier d’employés pourraient alors cesser le travail, entraînant des perturbations majeures pour l’aéroport. Les conséquences d’une telle action pourraient être considérables, avec une interruption potentielle du trafic aérien pendant une durée indéterminée.
Les syndicats ont prévenu que le risque d’une grève est très élevé dans les prochains jours. Ils ont également contacté les grandes compagnies aériennes pour les inciter à dérouter leurs appareils vers d’autres destinations. Parallèlement, l’aéroport se prépare à la possibilité d’une grève, bien que l’ampleur exacte du mouvement reste incertaine.
L’Aéroport international de Genève se défend de vouloir réduire les salaires de ses employés. Au contraire, il affirme que la nouvelle politique n’entraînera aucune baisse de revenus et que la prime de fidélité acquise sera maintenue. Cependant, l’aéroport reconnaît qu’il ne peut plus maintenir le modèle de rémunération actuel qui prévoit une augmentation automatique linéaire deux fois plus importante que la progression estimée du chiffre d’affaires.
En attendant, les passagers sont invités à arriver à l’aéroport au moins deux heures et demie avant leur vol pour éviter d’éventuelles perturbations. Ils sont également encouragés à suivre l’application mobile GVApp pour rester informés des dernières évolutions. Le climat est donc tendu à l’aéroport de Genève, où les regards sont tournés vers la réunion du conseil d’administration du 29 juin qui pourrait déclencher la première grève de l’histoire de l’aéroport.